• Eugène-Louis Boudin est un peintre français, né à Honfleur (Calvados) le 12 juillet 1824, mort à Deauville (Calvados) le 8 août 1898. Il fut l'un des premiers peintres français à saisir les paysages à l'extérieur d'un atelier. Grand peintre de marines, il est considéré comme l'un des précurseurs de l'impressionnisme.

    En 1835, sa famille déménage au Havre. À dix ans, il travaille comme mousse sur un bateau à vapeur assurant la liaison entre Le Havre et Honfleur. Par la suite, son père l'établit comme commis chez l'imprimeur Joseph Morlent, puis chez le papetier Alphonse Lemasle. Il commence à travailler l'année suivante comme assistant dans une boutique de papetier-encadreur.

    cette toile s'intitule "Eugénie au bain"

     

    celle-ci "Jetée à marée haute à trouville"


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  • Un petit retour en arrière, (35 ans)

    A l'époque je dansais sur cette musique


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  • Cette ville de 8000 habitants a traversé le siècle sans changements notoires

     bien sur sont venus s'ajouter des immeubles neufs et des parkings etc mais il est certain que nos aieux ne seraient pas si déroutés que cela s'ils revenaient  nous rendre visite

     

    Carentan 1900

     

    La gare a été restaurée a l'identique

    La gare vers 1900. Elle comporte un quai central avec, à l'extérieur, la voie pour Carteret.

    Carentan 1900

    le canal du haut dick

    transformé aujourd'hui en port de plaisance,a perdu un peu de sons charme d'antan.

    Carentan 1900

     

    L'ancien couvent

     transformé dans les années 50/60 en collège de garçons;

    aujourd'hui on y trouve des services de la mairie

    l'école de musique etc..

    Carentan 1900

    Bien qu'un peu transformée le marché

    se situe toujours le lundi sur cette place

    Carentan 1900

    Avenue de la gare

    A droite  se trouve un restaurant de nos jours

    Carentan 1900

     

    Restauré a l'identique il est magnifique

    Carentan 1900

    Le 12 août 1830, Charles X et sa famille, en route pour l'exil,

    sont accueillis par le commandant de la place, le capitaine de Busselot, nommé le 21 août 1822.

    Il est remplacé quelques mois plus tard par le capitaine Alissant[].

    En 1858, Carentan est desservie par le train de la ligne Paris-Cherbourg

     


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  • Pont-l'Evêque

    Carrefour obligé vers la côte ou vers Paris, Pont-l'Évêque a toujours été un important lieu de passage et de commerce. Au Moyen Âge, la ville devient un important siège administratif de la vicomté d’Auge. Occupée par les Anglais pendant le XVe siècle, puis touchée par les guerres de religion, Pont-l'Évêque connaît ensuite une ère de calme et de prospérité.

    La commune a été chef-lieu de district de 1790 à 1800 puis sous-préfecture jusqu'en 1926.

    À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, le 24 août 1944, après trois jours de combat, la ville détruite à 65 % est libérée par les Alliés.

    Pont-l'Evêque

     

     

    La ville fut desservie de 1904 à 1933 par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique provenant de Cormeilles, exploitée pour le compte du Département par la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local de Cormeilles à Glos Montfort et ext..

    Pont-l'Evêque

    Pont-l'Évêque doit son nom, dit-on, à son gué au-dessus de la Touques et aux évêchés qui le contrôlèrent. Ce gué bientôt aménagé en pont fit de la ville un haut lieu commercial, carrefour d’échanges entre Paris et la Normandie et de Lisieux vers le littoral. 

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté successivement les noms de Pont-Châlier, de Pont-Chartier et de Pont-Libre. habitants sont les Pont-Episcopiens

    Ses habitants sont les Pont-Episcopiens


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  • Tombée en désuétude dans le droit appliqué sur la Normandie après l’unification juridique révolutionnaire, cette pratique tout à fait originale, est encore utilisée de nos jours dans les îles anglo-normandes à Jersey et Guernesey. Elle consiste à suspendre par un moyen de droit le déroulement d’un acte attentatoire aux biens ou aux personnes et ce aussi bien en matière civile que
     

    La clameur de haro est une institution du droit normand qui a pour origine une pratique issue du très ancien droit appliqué par les peuples installés dans l’ancien duché de Normandie et qui continue à s’appliquer dans des conditions restreintes dans les îles anglo-normandes et qui connaît également un prolongement indirect dans le droit anglo-saxon avec la notion de forban ou d’outlaw, de hors-la-loi.
    La clameur de haro est une règle de droit qui en matière criminelle par exemple a pour but de faire arrêter sur-le-champ les malfaiteurs et qui, au civil, sert à régler sans retard les litiges qui réclament une solution urgente. Cette procédure est le fruit d’une longue évolution qui voit la systématisation d’une pratique à travers différents domaines du droit normand.
    Selon Pesnelle dans sa Coutume de Normandie : « Le haro est un moïen particulier à la province de Normandie, par lequel les personnes privées empêchent qu’il ne soit passé outre à l’exécution de quelque entreprise que ce soit... ce qui se fait en invocant la protection de la Justice ».
    Le haro n’était à l’origine qu’une exclamation poussée par la victime et par les témoins d’un flagrant délit, tant pour appeler les voisins à l’aide que pour publier des mesures de force et de sûreté que les individus étaient contraints d’em­ployer à leur tour contre les malfaiteurs

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