• Bonjour et bienvenue,

    C'est dans la Normandie des traditions que je vous invite.

    Peut être un peu plus en "Basse" Normandie que je connais mieux.Au fil des pages vous pourrez découvrir les chants, les danses, les coutumes , le patois etc..

    Poussez la porte et entrez, vous êtes les bienvenus

     

     

    Manoir de Saint Germain du livet


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  • mieux que des mots des photos qui nous font entrer dans ce mondesi dur de la paysannerie fin xix et debut xx siècle

     le lavoir et les cancans bien entendu

    Départ pour les foins

     

    Aller en route

    les femmes font les meules de foin

     L'eau pour abreuver les vaches, on trayait

    à la main et dans les champs

    Transport du bois

    La vie à la ferme

    Visite du colporteur

     


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  • A Lisieux

     

    Le marché était un rendez-vous régulier qui ponctuait la vie routinière des campagnes. Il se tenait sur la place du bourg chaque semaine, à jour fixe, de manière à ne pas concurrencer ceux des villages du même canton. Les pay-
    sannes qui habitaient au loin s'y rendaient en carriole, au trot de leur âne; elles apportaient des volailles, des oeufs, du beurre et des fromages, des légumes. C'était là qu'on traitait ses affaires, mais c'était surtout là qu'on se rencontrait, qu'on apprenait les dernières nouvelles, qu'on causait de la pluie ou du beau temps et, enfin, qu'on trinquait à l'auberge pour bien montrer que la journée avait été bénéfique. Autrefois, les retours de certains marchés restaient une aubaine pour les détrousseurs de maltournées.
    Les foires étaient mensuelles, bimensuelles ou annuelles, plus rarement trimestrielles ou semestrielles. La plupart, tout à la fois distrayantes et mercantiles, étaient des maintenances de lendits moyenâgeux : il s'y serrait les baraques des camelots et les manèges forains. Les bateleurs et les bonimenteurs tenaient le haut du pavé. D'importance pour le moins cantonale, une foire se dérou-
    lait à date et lieu précis, souvent sous le vocable d'un saint protecteur ou à l'occasion d'une fête religieuse : la Pentecôte, l'Assomption, la Saint-Jean, la Saint-Martin. Les crieurs de chansons y côtoyaient les courtiers en grains ou en vins, les maîtres y rencontraient les domestiques, les filles honnêtes y cherchaient un mari courageux et les gourgandines y guettaient le bambocheur cousu d'or. En principe, les maquignons ne présentaient leurs bestiaux qu'en matinée, avant le déferlement des réjouissances populaires. Les marchés, quant à eux, étaient uniquement consacrés au petit commerce villageois, aux marchands itinérants, aux fermières et aux jardiniers. Sans provoquer la moindre liesse, ils revenaient chaque semaine à jour habituel, et les affaires traitées n'y aneignaient jamais des sommes faramineuses.

     

    Il en était de même dans toutes les régions de France, ici des photos de lisieux

     

    Foire aux picots(dindes et dindons)

     d'où l'expression  grand picot= grand nigaud


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  • mieux que des mots des photos qui nous font entrer dans ce mondesi dur de la paysannerie fin xix et debut xx siècle

    la lessive au lavoir et bien sur le moment de la causette

     

    Départ pour les fenaisons

     

    les femmes font les meules de foin

     

    de l'eau pour abreuver les vaches

     on trayait à la main est dans les champs

     

     

     

    Transport du bois

     

    On se servait de la carriole les jours de marché

    ou pour aller à la messe

     

    Retour des foins

     

    Visite du colporteur

     

     


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  • Vive le tracteur

    « La locomotive employée à Isigny était de la force de 8 chevaux, la charrue pesait 1551 kg », indique le compte-rendu de l’évènement. Des caractéristiques qui feraient sourire bon nombre de cultivateurs du XXIe siècle. La machine était pourtant attendue avec impatience par la foule massée dans un petit champ de quatre hectares, près d’Isigny-sur-Mer (Calvados), le mardi 10 janvier 1860.
    La Compagnie agricole des lais, relais, canalisations et dessèchements de l’Ouest n’avait reculé « devant aucune dépense pour faire venir la machine Fowler avec des hommes habitués à la faire fonctionner ».
    « Le système a fonctionné de la manière la plus satisfaisante, note le naturaliste Jules Morière. On ne pouvait se lasser d’admirer la simplicité merveilleuse de cet appareil automatique qui, par un seul mouvement de levier d’engrenage, s’avance parallèlement aux deux extrémités du champ, sans interrompre un seul instant le parcours de la quadruple charrue dont la besogne, rapide et parfaite à tous égards, excitait l’admiration des assistants.
    Les cultivateurs eux-mêmes, peu enclins de leur nature aux innovations, ne pouvaient s’empêcher de dire, d’un commun accord : il est impossible de faire mieux avec n’importe quelle charrue ».

     


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