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Par normandietrad le 14 Juillet 2016 à 10:41
Cette ville de 8000 habitants a traversé le siècle sans changements notoires
bien sur sont venus s'ajouter des immeubles neufs et des parkings etc mais il est certain que nos aieux ne seraient pas si déroutés que cela s'ils revenaient nous rendre visite
La gare a été restaurée a l'identique
La gare vers 1900. Elle comporte un quai central avec, à l'extérieur, la voie pour Carteret.
le canal du haut dick
transformé aujourd'hui en port de plaisance,a perdu un peu de sons charme d'antan.
L'ancien couvent
transformé dans les années 50/60 en collège de garçons;
aujourd'hui on y trouve des services de la mairie
l'école de musique etc..
Bien qu'un peu transformée le marché
se situe toujours le lundi sur cette place
Avenue de la gare
A droite se trouve un restaurant de nos jours
Restauré a l'identique il est magnifique
Le 12 août 1830, Charles X et sa famille, en route pour l'exil,
sont accueillis par le commandant de la place, le capitaine de Busselot, nommé le 21 août 1822.
Il est remplacé quelques mois plus tard par le capitaine Alissant[].
En 1858, Carentan est desservie par le train de la ligne Paris-Cherbourg
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Par normandietrad le 14 Juillet 2016 à 10:26
Carrefour obligé vers la côte ou vers Paris, Pont-l'Évêque a toujours été un important lieu de passage et de commerce. Au Moyen Âge, la ville devient un important siège administratif de la vicomté d’Auge. Occupée par les Anglais pendant le XVe siècle, puis touchée par les guerres de religion, Pont-l'Évêque connaît ensuite une ère de calme et de prospérité.
La commune a été chef-lieu de district de 1790 à 1800 puis sous-préfecture jusqu'en 1926.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, le 24 août 1944, après trois jours de combat, la ville détruite à 65 % est libérée par les Alliés.
La ville fut desservie de 1904 à 1933 par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique provenant de Cormeilles, exploitée pour le compte du Département par la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local de Cormeilles à Glos Montfort et ext..
Pont-l'Évêque doit son nom, dit-on, à son gué au-dessus de la Touques et aux évêchés qui le contrôlèrent. Ce gué bientôt aménagé en pont fit de la ville un haut lieu commercial, carrefour d’échanges entre Paris et la Normandie et de Lisieux vers le littoral.
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté successivement les noms de Pont-Châlier, de Pont-Chartier et de Pont-Libre. habitants sont les Pont-Episcopiens
Ses habitants sont les Pont-Episcopiens
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